Pédagogie du FOS dans une université de médecine chinoise Recherches et tentatives d'application en troisième année

Nos dirigeants ayant toujours eu pour sage politique de conserver ce précieux héritage qu'est l'enseignement du français, il va sans dire qu'avec l'ouverture de la Chine, cette francophonie du bout du monde a repris du « poil de la bete », un objectif clairement déclaré de notre...

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Veröffentlicht in:Synergies Chine 2008-01 (3), p.95-105
Hauptverfasser: Tao, Xu, Thieis, Yann Le
Format: Artikel
Sprache:fre
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Zusammenfassung:Nos dirigeants ayant toujours eu pour sage politique de conserver ce précieux héritage qu'est l'enseignement du français, il va sans dire qu'avec l'ouverture de la Chine, cette francophonie du bout du monde a repris du « poil de la bete », un objectif clairement déclaré de notre établissement étant le renforcement encore et toujours des liens nous unissant a la France ou au monde francophone. Nous nous sommes proposés, faisant fi des sinologues prônant la différence totale, des éminents comparatistes qui concluent au rendez-vous toujours manqué car impossible entre Orient et Occident, de chercher un lieu de rencontre entre deux pédagogies, deux visions du monde qui se devaient sous injonction de se retrouver au sempiternel axiome moderne du toujours plus d'efficacité. Le plus gros de leur emploi du temps étant réservé a la médecine, et en langue chinoise comme il va de soi, il ne se connaissent souvent pas tres bien, partageant seulement le fait d'apprendre le français huit heures par semaine sous la forme de cours du soir. [.'importance de la pédagogie de groupe ne pouvant dit-on de nos jours étre ignorée des professeurs en France (dans la pratique, elle est méme institutionnalisée dans les programmes scolaires sous la forme des révolutionnaires et controversés modules), il était tentant pour nous de nous y « engouffrer » a notre tour. De la guerre elle-méme, le concept de « noyau dur » ne retiendra que les deux phases essentielles, la guerre de mouvement au début du conflit quand les deux camps adverses entaměrent une course a la mer vers le nord, cherchant a se déborder mutuellement, puis la guerre de position ou guerre des tranchées, et ce a partir de l'hiver 1914-1915 jusqu'a 1918 quand les deux camps se neutralisěrent, les lignes de front ne bougeant pour ainsi dire plus malgré les pertes terribles.
ISSN:1776-2669
2260-6483