La mobilité électrique et les bornes de recharge
Le Plan climat lancé par le gouvernement français en juillet 2017 fixe à l’année 2040 la fin de la vente des véhicules essence et diesel. La priorité est d’accélérer la transformation des pratiques de mobilité en maîtrisant la demande, en favorisant la diversification des modes de déplacement, ainsi...
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Veröffentlicht in: | Réalités industrielles 2018-05, Vol.Mai 2018 (2), p.25-30 |
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Format: | Artikel |
Sprache: | fre |
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Online-Zugang: | Volltext |
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Zusammenfassung: | Le Plan climat lancé par le gouvernement français en juillet 2017 fixe à l’année 2040 la fin de la vente des véhicules essence et diesel. La priorité est d’accélérer la transformation des pratiques de mobilité en maîtrisant la demande, en favorisant la diversification des modes de déplacement, ainsi que les nouveaux usages (covoiturage, auto-partage), et en accélérant la conversion du parc vers les nouvelles motorisations.Il est souvent mis en avant le fait que le développement de la mobilité électrique doit permettre d’atteindre les objectifs environnementaux fixés dans les cadres européen et national pour lutter contre le changement climatique, visant notamment à diminuer les émissions de CO2.La contribution des véhicules électriques (et les limites de celle-ci) à la lutte contre le changement climatique est intrinsèquement liée à la mise en œuvre des transitions énergétique et écologique. C’est pour cela qu’il faut prêter une attention toute particulière à l’intégration de la mobilité électrique dans les réseaux électriques du futur. Il en va de même en matière de réduction des nuisances pour l’environnement et de l’utilisation raisonnée de ressources naturelles. |
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ISSN: | 1148-7941 2271-7978 |
DOI: | 10.3917/rindu1.182.0025 |