Les affects dans l'organisation perverse et leur rapport à la réalité
Résumé Résumé — L'auteur confronte la perversion affective (C. David) à l'affect pervers. La première se situerait entre névrose et perversion, à côté des traits pervers normaux et névrotiques. La perversion serait, par contre, définie à partir de la qualité de sa relation à la réalité, ré...
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Veröffentlicht in: | Revue française de psychanalyse 1999, Vol.63 (1), p.87-102 |
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1. Verfasser: | |
Format: | Artikel |
Sprache: | fre |
Online-Zugang: | Volltext |
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Zusammenfassung: | Résumé Résumé — L'auteur confronte la perversion affective (C. David) à l'affect pervers. La première se situerait entre névrose et perversion, à côté des traits pervers normaux et névrotiques. La perversion serait, par contre, définie à partir de la qualité de sa relation à la réalité, réglée par le mécanisme de reconnaissance-méconnaissance. On envisage le développement des affects comme des systèmes relationnels, dans la sphère de l'activation progressive d'expériences sensorielles dérivées de systèmes motivationnels dont la finalité est la survie de l'individu et de l'espèce. A partir de deux cas cliniques, l'auteur parle de deux possibilités d'utilisation de l'affect dans la perversion, l'utilisation mortifère qui enferme le patient dans une immuable fixité et la désactivation de l'affect qui en éteint défensivement chaque vitalité. |
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ISSN: | 0035-2942 |
DOI: | 10.3917/rfp.g1999.63n1.0087 |