APPRENTICES IN THE INFORMAL SECTOR OF NIGERIA

En appliquant la méthode inductive à l'étude du secteur informel, le présent document offre une compréhension approfondie des particularités et des aspirations des apprentis dans le secteur informel. Il se fonde sur les données obtenues à l'aide d'une étude type des apprentis dans des...

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Veröffentlicht in:Labour capital and society 1980-11, Vol.13 (2), p.68-79
1. Verfasser: Oyeneye, O. Y.
Format: Artikel
Sprache:eng
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creator Oyeneye, O. Y.
description En appliquant la méthode inductive à l'étude du secteur informel, le présent document offre une compréhension approfondie des particularités et des aspirations des apprentis dans le secteur informel. Il se fonde sur les données obtenues à l'aide d'une étude type des apprentis dans des entreprises manufacturières ou des services de réparation du secteur informel dans les villes de Oyo et de Ede au sud-ouest du Nigeria. Les renseignements quant à l'âge, au degré d'instruction, aux motifs ayant poussé le sujet à entreprendre une formation d'apprenti, à l'emploi occupé par son père et au niveau d'instruction de celui-ci ainsi que les aspirations des apprentis ont été recueillis. Les résultats obtenus confirment ceux des études antérieures tout en allant plus loin bien qu'il n'existe aucune différence significative entre les villes choisies. La plupart des apprentis de notre échantillonnage sont nés dans les villes étudiées; la majorité des immigrants travaillaient dans les corps de métier étrangers. Les apprentis de l'industrie autochtone étaient plus jeunes et comptaient moins d'années d'instruction régulière que leurs homologues de l'industrie d'importation. En général, les apprentis provenaient des couches inférieures de la structure sociale et avaient entrepris une formation d'apprenti à cause de l'insuffisance de moyens financiers leur permettant de poursuivre des études secondaires. Il importe de souligner que les résultats ont montré que les apprentis sont disposés à continuer d'exercer le métier qu'ils ont choisi après leur formation dans les villes que notre étude couvrait ou à retourner dans leur village plutôt que de chercher un emploi rémunéré au sein du secteur formel. Il en résultera non seulement une diffusion des compétences, des produits et des services de chacun des métiers du secteur informel, et vraisemblablement l'établissement d'une base de développement industriel futur des zones rurales, mais également une réduction de la concentration de jeunes dans les villes déjà surpeuplées du Nigeria.
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La plupart des apprentis de notre échantillonnage sont nés dans les villes étudiées; la majorité des immigrants travaillaient dans les corps de métier étrangers. Les apprentis de l'industrie autochtone étaient plus jeunes et comptaient moins d'années d'instruction régulière que leurs homologues de l'industrie d'importation. En général, les apprentis provenaient des couches inférieures de la structure sociale et avaient entrepris une formation d'apprenti à cause de l'insuffisance de moyens financiers leur permettant de poursuivre des études secondaires. Il importe de souligner que les résultats ont montré que les apprentis sont disposés à continuer d'exercer le métier qu'ils ont choisi après leur formation dans les villes que notre étude couvrait ou à retourner dans leur village plutôt que de chercher un emploi rémunéré au sein du secteur formel. Il en résultera non seulement une diffusion des compétences, des produits et des services de chacun des métiers du secteur informel, et vraisemblablement l'établissement d'une base de développement industriel futur des zones rurales, mais également une réduction de la concentration de jeunes dans les villes déjà surpeuplées du Nigeria.</description><identifier>ISSN: 0706-1706</identifier><language>eng</language><publisher>Centre for Developing-Area Studies, McGill University</publisher><subject>Age distribution ; Apprenticeships ; Artisans ; Educational attainment ; Elementary schools ; Employment ; Formal education ; Informal sector ; Self employment ; Towns</subject><ispartof>Labour capital and society, 1980-11, Vol.13 (2), p.68-79</ispartof><lds50>peer_reviewed</lds50><woscitedreferencessubscribed>false</woscitedreferencessubscribed></display><links><openurl>$$Topenurl_article</openurl><openurlfulltext>$$Topenurlfull_article</openurlfulltext><thumbnail>$$Tsyndetics_thumb_exl</thumbnail><linktopdf>$$Uhttps://www.jstor.org/stable/pdf/43157565$$EPDF$$P50$$Gjstor$$H</linktopdf><linktohtml>$$Uhttps://www.jstor.org/stable/43157565$$EHTML$$P50$$Gjstor$$H</linktohtml><link.rule.ids>314,776,780,799,57992,58225</link.rule.ids></links><search><creatorcontrib>Oyeneye, O. 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La plupart des apprentis de notre échantillonnage sont nés dans les villes étudiées; la majorité des immigrants travaillaient dans les corps de métier étrangers. Les apprentis de l'industrie autochtone étaient plus jeunes et comptaient moins d'années d'instruction régulière que leurs homologues de l'industrie d'importation. En général, les apprentis provenaient des couches inférieures de la structure sociale et avaient entrepris une formation d'apprenti à cause de l'insuffisance de moyens financiers leur permettant de poursuivre des études secondaires. Il importe de souligner que les résultats ont montré que les apprentis sont disposés à continuer d'exercer le métier qu'ils ont choisi après leur formation dans les villes que notre étude couvrait ou à retourner dans leur village plutôt que de chercher un emploi rémunéré au sein du secteur formel. Il en résultera non seulement une diffusion des compétences, des produits et des services de chacun des métiers du secteur informel, et vraisemblablement l'établissement d'une base de développement industriel futur des zones rurales, mais également une réduction de la concentration de jeunes dans les villes déjà surpeuplées du Nigeria.</description><subject>Age distribution</subject><subject>Apprenticeships</subject><subject>Artisans</subject><subject>Educational attainment</subject><subject>Elementary schools</subject><subject>Employment</subject><subject>Formal education</subject><subject>Informal sector</subject><subject>Self employment</subject><subject>Towns</subject><issn>0706-1706</issn><fulltext>true</fulltext><rsrctype>article</rsrctype><creationdate>1980</creationdate><recordtype>article</recordtype><sourceid/><recordid>eNpjYeA0MDcw0zUEEhwMXMXFWQYGhmYGJmacDLqOAQFBrn4hns6uwQqefgohHq5Ays0_yNfRRyHY1TnEP0jB303Bz9PdNcjTkYeBNS0xpziVF0pzM8i6uYY4e-hmFZfkF8UXFGXmJhZVxpsYG5qam5qZGhOSBwAZSShO</recordid><startdate>19801101</startdate><enddate>19801101</enddate><creator>Oyeneye, O. 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Les renseignements quant à l'âge, au degré d'instruction, aux motifs ayant poussé le sujet à entreprendre une formation d'apprenti, à l'emploi occupé par son père et au niveau d'instruction de celui-ci ainsi que les aspirations des apprentis ont été recueillis. Les résultats obtenus confirment ceux des études antérieures tout en allant plus loin bien qu'il n'existe aucune différence significative entre les villes choisies. La plupart des apprentis de notre échantillonnage sont nés dans les villes étudiées; la majorité des immigrants travaillaient dans les corps de métier étrangers. Les apprentis de l'industrie autochtone étaient plus jeunes et comptaient moins d'années d'instruction régulière que leurs homologues de l'industrie d'importation. En général, les apprentis provenaient des couches inférieures de la structure sociale et avaient entrepris une formation d'apprenti à cause de l'insuffisance de moyens financiers leur permettant de poursuivre des études secondaires. Il importe de souligner que les résultats ont montré que les apprentis sont disposés à continuer d'exercer le métier qu'ils ont choisi après leur formation dans les villes que notre étude couvrait ou à retourner dans leur village plutôt que de chercher un emploi rémunéré au sein du secteur formel. Il en résultera non seulement une diffusion des compétences, des produits et des services de chacun des métiers du secteur informel, et vraisemblablement l'établissement d'une base de développement industriel futur des zones rurales, mais également une réduction de la concentration de jeunes dans les villes déjà surpeuplées du Nigeria.</abstract><pub>Centre for Developing-Area Studies, McGill University</pub></addata></record>
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