Melanophores and Their Role in Color Change and the Ecology of the Marine Isopod, Sphaeroma quadridentatum Say
Les migrations du pigment melanophore chez Sphaeroma quadridentatum Say sous un cycle jour/nuit de 12/12 présentent un rythme diurne. La dispersion maximale du pigment se produit à 14.00 h, huit heures après l'éclairement, et la dispersion minimale douze heures plus tard à 02.00 h, huit heures...
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Veröffentlicht in: | Crustaceana 1981-05, Vol.40 (3), p.225-234 |
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Hauptverfasser: | , |
Format: | Artikel |
Sprache: | eng |
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creator | Leboeuf, Robert D. Howe, Nathan R. |
description | Les migrations du pigment melanophore chez Sphaeroma quadridentatum Say sous un cycle jour/nuit de 12/12 présentent un rythme diurne. La dispersion maximale du pigment se produit à 14.00 h, huit heures après l'éclairement, et la dispersion minimale douze heures plus tard à 02.00 h, huit heures après l'extinction. Le rythme diurne persiste inchangé durant un cycle de 24 h lorsque les animaux sont soumis à une obscurité continue. La valeur absolue de la dispersion pigmentaire est liée à l'intensité de lumière incidente et réfléchie. Il y a une relation directe entre la dispersion pigmentaire et l'illumination totale et une relation inverse entre cette dispersion et la lumière réfléchie. Les réponses en pigment mélanophore sont comparées chez S. quadridentatum et chez Ligia exotica Roux, et la signification adaptative du changement de coloration chez les deux espèces est discutée. |
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La dispersion maximale du pigment se produit à 14.00 h, huit heures après l'éclairement, et la dispersion minimale douze heures plus tard à 02.00 h, huit heures après l'extinction. Le rythme diurne persiste inchangé durant un cycle de 24 h lorsque les animaux sont soumis à une obscurité continue. La valeur absolue de la dispersion pigmentaire est liée à l'intensité de lumière incidente et réfléchie. Il y a une relation directe entre la dispersion pigmentaire et l'illumination totale et une relation inverse entre cette dispersion et la lumière réfléchie. Les réponses en pigment mélanophore sont comparées chez S. quadridentatum et chez Ligia exotica Roux, et la signification adaptative du changement de coloration chez les deux espèces est discutée.</description><identifier>ISSN: 0011-216X</identifier><language>eng</language><publisher>E. J. 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