L’Économie Sociale et Solidaire et ses parties prenantes : une étude du discours
Pour conserver l’adhésion de toutes leurs parties prenantes, les organisations peuvent s’appuyer sur différents leviers : adoption de pratiques, recours à des symboles, explications, justifications… Parmi ces leviers, la rhétorique joue un rôle particulier. Elle est utilisée pour favoriser l’identif...
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Veröffentlicht in: | Revue finance, contrôle, stratégie : FCS contrôle, stratégie : FCS, 2018-09 |
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creator | Mariaux, Sébastien Reynaud, Emmanuelle |
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Elle est utilisée pour favoriser l’identification des parties prenantes à l’identité organisationnelle désirée, et donc la renforcer. L’adhésion des parties prenantes est un enjeu majeur pour les Organisations de l’Économie Sociale et Solidaire (OESS) qui, au-delà des traditionnels clients et propriétaires, dépendent des bénévoles et des donateurs pour assurer leur pérennité. C’est pourquoi, nous analysons dans cet article le lien entre la rhétorique des OESS, leur identité et l’importance accordée à leurs différentes parties prenantes. Grâce à l’étude de plus de 100 000 mots utilisés dans 97 sites internet, nous montrons que le discours est adapté aux parties prenantes considérées comme essentielles pour l’organisation et que le choix de communiquer sur une identité particulière dépend des parties prenantes à satisfaire.</description><identifier>ISSN: 1287-1141</identifier><identifier>EISSN: 2261-5512</identifier><identifier>DOI: 10.4000/fcs.2551</identifier><language>fre</language><publisher>Association FCS</publisher><subject>Business administration ; Humanities and Social Sciences</subject><ispartof>Revue finance, contrôle, stratégie : FCS, 2018-09</ispartof><rights>Distributed under a Creative Commons Attribution 4.0 International License</rights><oa>free_for_read</oa><woscitedreferencessubscribed>false</woscitedreferencessubscribed><orcidid>0000-0003-3064-6788</orcidid></display><links><openurl>$$Topenurl_article</openurl><openurlfulltext>$$Topenurlfull_article</openurlfulltext><thumbnail>$$Tsyndetics_thumb_exl</thumbnail><link.rule.ids>230,314,776,780,881,11572,11574,27901,27902</link.rule.ids><backlink>$$Uhttps://amu.hal.science/hal-02073658$$DView record in HAL$$Hfree_for_read</backlink></links><search><creatorcontrib>Mariaux, Sébastien</creatorcontrib><creatorcontrib>Reynaud, Emmanuelle</creatorcontrib><title>L’Économie Sociale et Solidaire et ses parties prenantes : une étude du discours</title><title>Revue finance, contrôle, stratégie : FCS</title><description>Pour conserver l’adhésion de toutes leurs parties prenantes, les organisations peuvent s’appuyer sur différents leviers : adoption de pratiques, recours à des symboles, explications, justifications… Parmi ces leviers, la rhétorique joue un rôle particulier. Elle est utilisée pour favoriser l’identification des parties prenantes à l’identité organisationnelle désirée, et donc la renforcer. L’adhésion des parties prenantes est un enjeu majeur pour les Organisations de l’Économie Sociale et Solidaire (OESS) qui, au-delà des traditionnels clients et propriétaires, dépendent des bénévoles et des donateurs pour assurer leur pérennité. C’est pourquoi, nous analysons dans cet article le lien entre la rhétorique des OESS, leur identité et l’importance accordée à leurs différentes parties prenantes. 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