Déformation d'une paroi d'acier sous pression jusqu'à la rupture : essais expérimentaux et simulations numériques

L’objectif de ce projet est de définir un Modèle par Éléments Finis simple qui évalue la déformation d’une paroi d’acier sous pression jusqu’à la rupture ductile. Les résultats de cette simulation numérique sont requis par le Modèle d’État Quasi-Statique. Ce dernier calcule la quantité d’énergie d’a...

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1. Verfasser: Brodeur, Samuel
Format: Dissertation
Sprache:fre
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creator Brodeur, Samuel
description L’objectif de ce projet est de définir un Modèle par Éléments Finis simple qui évalue la déformation d’une paroi d’acier sous pression jusqu’à la rupture ductile. Les résultats de cette simulation numérique sont requis par le Modèle d’État Quasi-Statique. Ce dernier calcule la quantité d’énergie d’arc électrique qui est confinée par la déformation du réservoir d’un transformateur ou d’une inductance de puissance. Plusieurs essais expérimentaux sont réalisés à l’aide d’un banc d’essai où une paroi d’acier de 3,5 m2 est soumise à une pression statique jusqu’à la rupture ductile. La pression, le déplacement et la déformation de cette paroi d’acier sont mesurés pour faire la comparaison avec les résultats de la simulation numérique. Ainsi, ces essais expérimentaux sont simulés par un MEF détaillé à l’aide du logiciel ANSYS® Mechanical™. Tout d’abord, l’option de non-linéarité géométrique est activée pour cette analyse structurale par Éléments Finis, ce qui veut dire que la rigidité de la structure est ajustée en fonction du déplacement. Les propriétés mécaniques des matériaux proviennent d’essais de traction uniaxiale normalisés. La courbe contrainte-déformation vraie des matériaux est utilisée dans le logiciel EF pour décrire le comportement de la paroi d’acier. La paroi d’acier est maillée en éléments hexaèdres à 8 noeuds de type coque-solide avec cinq points d’intégration dans l’épaisseur. La taille de ces éléments doit être inférieure à 2 mm pour obtenir la convergence des résultats de déformation selon le critère de convergence-divergence de Sinclair (2008). C’est pour cette raison que la technique de sousmodèle est utilisée aux endroits où les déformations sont importantes, elle permet d’avoir un temps de calcul raisonnable avec une petite taille d’élément. Pour ce qui est des connexions de la paroi d’acier, un coefficient de friction statique de 0,8 est appliqué à sa surface supérieure et inférieure. La force de serrage appliquée aux boulons génère une force de friction suffisante pour limiter le glissement de la paroi d’acier. La validation de l’analyse par éléments finis (AEF) se fait par comparaison avec les résultats expérimentaux jusqu’à la rupture ductile de la paroi d’acier. Les résultats du déplacement vertical moyen de la paroi d’acier en fonction de la pression sont sous-estimés de 6 % par l’AEF. De plus, l’AEF reproduit avec une bonne précision l’effet membrane de la déformation principale de la paroi d’acier. Elle sous-estime la déformation
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Les résultats de cette simulation numérique sont requis par le Modèle d’État Quasi-Statique. Ce dernier calcule la quantité d’énergie d’arc électrique qui est confinée par la déformation du réservoir d’un transformateur ou d’une inductance de puissance. Plusieurs essais expérimentaux sont réalisés à l’aide d’un banc d’essai où une paroi d’acier de 3,5 m2 est soumise à une pression statique jusqu’à la rupture ductile. La pression, le déplacement et la déformation de cette paroi d’acier sont mesurés pour faire la comparaison avec les résultats de la simulation numérique. Ainsi, ces essais expérimentaux sont simulés par un MEF détaillé à l’aide du logiciel ANSYS® Mechanical™. Tout d’abord, l’option de non-linéarité géométrique est activée pour cette analyse structurale par Éléments Finis, ce qui veut dire que la rigidité de la structure est ajustée en fonction du déplacement. Les propriétés mécaniques des matériaux proviennent d’essais de traction uniaxiale normalisés. La courbe contrainte-déformation vraie des matériaux est utilisée dans le logiciel EF pour décrire le comportement de la paroi d’acier. La paroi d’acier est maillée en éléments hexaèdres à 8 noeuds de type coque-solide avec cinq points d’intégration dans l’épaisseur. La taille de ces éléments doit être inférieure à 2 mm pour obtenir la convergence des résultats de déformation selon le critère de convergence-divergence de Sinclair (2008). C’est pour cette raison que la technique de sousmodèle est utilisée aux endroits où les déformations sont importantes, elle permet d’avoir un temps de calcul raisonnable avec une petite taille d’élément. Pour ce qui est des connexions de la paroi d’acier, un coefficient de friction statique de 0,8 est appliqué à sa surface supérieure et inférieure. La force de serrage appliquée aux boulons génère une force de friction suffisante pour limiter le glissement de la paroi d’acier. La validation de l’analyse par éléments finis (AEF) se fait par comparaison avec les résultats expérimentaux jusqu’à la rupture ductile de la paroi d’acier. Les résultats du déplacement vertical moyen de la paroi d’acier en fonction de la pression sont sous-estimés de 6 % par l’AEF. De plus, l’AEF reproduit avec une bonne précision l’effet membrane de la déformation principale de la paroi d’acier. Elle sous-estime la déformation principale en moyenne de 1 % avec un écart de plus ou moins 14 % par rapport aux résultats expérimentaux. Cependant, les résultats expérimentaux au point de rupture sont très sensibles au positionnement de la rosette ce qui augmente l’écart entre les résultats expérimentaux et numériques. La bonne corrélation entre les résultats expérimentaux et numériques au point de rupture de la paroi d’acier est tout de même confirmée. En effet, le MEF surestime la déformation principale en moyenne de 7 % avec un écart de plus 23 % et de moins 15 % par rapport aux résultats expérimentaux. Ensuite, le critère de rupture ductile basé sur la déformation ultime est proposé et appliqué aux résultats de l’AEF afin de valider les résultats à la rupture de la paroi d’acier. Les résultats de la simulation numérique surestiment en moyenne de 11 % la pression du banc d’essai et sous-estiment en moyenne de 1% le déplacement vertical de la paroi d’acier à la rupture. En conclusion, la méthode d’AEF structurale et le critère de rupture ductile basé sur la déformation ultime sont des approches efficaces pour évaluer avec grande précision le déplacement et la déformation de la paroi d’acier sous pression jusqu’à la rupture.</description><language>fre</language><publisher>École de technologie supérieure</publisher><subject>Acier Ductilité Simulation par ordinateur ; Acier Rupture Simulation par ordinateur ; analyse par éléments finis ; Arc électrique ; déformation ; Méthode des éléments finis ; rupture ductile ; simulations numériques ; Transformateurs électriques</subject><creationdate>2014</creationdate><oa>free_for_read</oa><woscitedreferencessubscribed>false</woscitedreferencessubscribed></display><links><openurl>$$Topenurl_article</openurl><openurlfulltext>$$Topenurlfull_article</openurlfulltext><thumbnail>$$Tsyndetics_thumb_exl</thumbnail><link.rule.ids>311,315,776,27837</link.rule.ids><linktorsrc>$$Uhttps://espace.etsmtl.ca/1405$$EView_record_in_École_de_technologie_supérieure$$FView_record_in_$$GÉcole_de_technologie_supérieure$$Hfree_for_read</linktorsrc></links><search><creatorcontrib>Brodeur, Samuel</creatorcontrib><title>Déformation d'une paroi d'acier sous pression jusqu'à la rupture : essais expérimentaux et simulations numériques</title><description>L’objectif de ce projet est de définir un Modèle par Éléments Finis simple qui évalue la déformation d’une paroi d’acier sous pression jusqu’à la rupture ductile. Les résultats de cette simulation numérique sont requis par le Modèle d’État Quasi-Statique. Ce dernier calcule la quantité d’énergie d’arc électrique qui est confinée par la déformation du réservoir d’un transformateur ou d’une inductance de puissance. Plusieurs essais expérimentaux sont réalisés à l’aide d’un banc d’essai où une paroi d’acier de 3,5 m2 est soumise à une pression statique jusqu’à la rupture ductile. La pression, le déplacement et la déformation de cette paroi d’acier sont mesurés pour faire la comparaison avec les résultats de la simulation numérique. Ainsi, ces essais expérimentaux sont simulés par un MEF détaillé à l’aide du logiciel ANSYS® Mechanical™. Tout d’abord, l’option de non-linéarité géométrique est activée pour cette analyse structurale par Éléments Finis, ce qui veut dire que la rigidité de la structure est ajustée en fonction du déplacement. Les propriétés mécaniques des matériaux proviennent d’essais de traction uniaxiale normalisés. La courbe contrainte-déformation vraie des matériaux est utilisée dans le logiciel EF pour décrire le comportement de la paroi d’acier. La paroi d’acier est maillée en éléments hexaèdres à 8 noeuds de type coque-solide avec cinq points d’intégration dans l’épaisseur. La taille de ces éléments doit être inférieure à 2 mm pour obtenir la convergence des résultats de déformation selon le critère de convergence-divergence de Sinclair (2008). C’est pour cette raison que la technique de sousmodèle est utilisée aux endroits où les déformations sont importantes, elle permet d’avoir un temps de calcul raisonnable avec une petite taille d’élément. Pour ce qui est des connexions de la paroi d’acier, un coefficient de friction statique de 0,8 est appliqué à sa surface supérieure et inférieure. La force de serrage appliquée aux boulons génère une force de friction suffisante pour limiter le glissement de la paroi d’acier. La validation de l’analyse par éléments finis (AEF) se fait par comparaison avec les résultats expérimentaux jusqu’à la rupture ductile de la paroi d’acier. Les résultats du déplacement vertical moyen de la paroi d’acier en fonction de la pression sont sous-estimés de 6 % par l’AEF. De plus, l’AEF reproduit avec une bonne précision l’effet membrane de la déformation principale de la paroi d’acier. Elle sous-estime la déformation principale en moyenne de 1 % avec un écart de plus ou moins 14 % par rapport aux résultats expérimentaux. Cependant, les résultats expérimentaux au point de rupture sont très sensibles au positionnement de la rosette ce qui augmente l’écart entre les résultats expérimentaux et numériques. La bonne corrélation entre les résultats expérimentaux et numériques au point de rupture de la paroi d’acier est tout de même confirmée. En effet, le MEF surestime la déformation principale en moyenne de 7 % avec un écart de plus 23 % et de moins 15 % par rapport aux résultats expérimentaux. Ensuite, le critère de rupture ductile basé sur la déformation ultime est proposé et appliqué aux résultats de l’AEF afin de valider les résultats à la rupture de la paroi d’acier. Les résultats de la simulation numérique surestiment en moyenne de 11 % la pression du banc d’essai et sous-estiment en moyenne de 1% le déplacement vertical de la paroi d’acier à la rupture. En conclusion, la méthode d’AEF structurale et le critère de rupture ductile basé sur la déformation ultime sont des approches efficaces pour évaluer avec grande précision le déplacement et la déformation de la paroi d’acier sous pression jusqu’à la rupture.</description><subject>Acier Ductilité Simulation par ordinateur</subject><subject>Acier Rupture Simulation par ordinateur</subject><subject>analyse par éléments finis</subject><subject>Arc électrique</subject><subject>déformation</subject><subject>Méthode des éléments finis</subject><subject>rupture ductile</subject><subject>simulations numériques</subject><subject>Transformateurs électriques</subject><fulltext>true</fulltext><rsrctype>dissertation</rsrctype><creationdate>2014</creationdate><recordtype>dissertation</recordtype><sourceid>EYLGR</sourceid><recordid>eNqVjDsOwkAMRNNQIOAO7lKBQEBDy0ccgD6ygiMZ7S_rtZTj0OYcezESFA5ANU96MzMv9JL7xkeLib2DZ6mOIGD0PDDWTBHEq0CIJDI2XiqtlvkNBiFqSBoJTjBIZAHqQu4jW3IJtQNKIGzVfL8FnNrRtkqyLGYNGqHVlItic7s-zvc1JbHJVCQBa6o88g8nUWO1O2yP-78HHyQIVcU</recordid><startdate>20141028</startdate><enddate>20141028</enddate><creator>Brodeur, Samuel</creator><general>École de technologie supérieure</general><scope>EYLGR</scope></search><sort><creationdate>20141028</creationdate><title>Déformation d'une paroi d'acier sous pression jusqu'à la rupture : essais expérimentaux et simulations numériques</title><author>Brodeur, Samuel</author></sort><facets><frbrtype>5</frbrtype><frbrgroupid>cdi_FETCH-etsmtl_espace_oai_espace_etsmtl_ca_14053</frbrgroupid><rsrctype>dissertations</rsrctype><prefilter>dissertations</prefilter><language>fre</language><creationdate>2014</creationdate><topic>Acier Ductilité Simulation par ordinateur</topic><topic>Acier Rupture Simulation par ordinateur</topic><topic>analyse par éléments finis</topic><topic>Arc électrique</topic><topic>déformation</topic><topic>Méthode des éléments finis</topic><topic>rupture ductile</topic><topic>simulations numériques</topic><topic>Transformateurs électriques</topic><toplevel>online_resources</toplevel><creatorcontrib>Brodeur, Samuel</creatorcontrib><collection>Espace ETS</collection></facets><delivery><delcategory>Remote Search Resource</delcategory><fulltext>fulltext_linktorsrc</fulltext></delivery><addata><au>Brodeur, Samuel</au><format>dissertation</format><genre>dissertation</genre><ristype>THES</ristype><Advisor>Lê, Van Ngan</Advisor><Degree>Mémoire</Degree><btitle>Déformation d'une paroi d'acier sous pression jusqu'à la rupture : essais expérimentaux et simulations numériques</btitle><date>2014-10-28</date><risdate>2014</risdate><abstract>L’objectif de ce projet est de définir un Modèle par Éléments Finis simple qui évalue la déformation d’une paroi d’acier sous pression jusqu’à la rupture ductile. Les résultats de cette simulation numérique sont requis par le Modèle d’État Quasi-Statique. Ce dernier calcule la quantité d’énergie d’arc électrique qui est confinée par la déformation du réservoir d’un transformateur ou d’une inductance de puissance. Plusieurs essais expérimentaux sont réalisés à l’aide d’un banc d’essai où une paroi d’acier de 3,5 m2 est soumise à une pression statique jusqu’à la rupture ductile. La pression, le déplacement et la déformation de cette paroi d’acier sont mesurés pour faire la comparaison avec les résultats de la simulation numérique. Ainsi, ces essais expérimentaux sont simulés par un MEF détaillé à l’aide du logiciel ANSYS® Mechanical™. Tout d’abord, l’option de non-linéarité géométrique est activée pour cette analyse structurale par Éléments Finis, ce qui veut dire que la rigidité de la structure est ajustée en fonction du déplacement. Les propriétés mécaniques des matériaux proviennent d’essais de traction uniaxiale normalisés. La courbe contrainte-déformation vraie des matériaux est utilisée dans le logiciel EF pour décrire le comportement de la paroi d’acier. La paroi d’acier est maillée en éléments hexaèdres à 8 noeuds de type coque-solide avec cinq points d’intégration dans l’épaisseur. La taille de ces éléments doit être inférieure à 2 mm pour obtenir la convergence des résultats de déformation selon le critère de convergence-divergence de Sinclair (2008). C’est pour cette raison que la technique de sousmodèle est utilisée aux endroits où les déformations sont importantes, elle permet d’avoir un temps de calcul raisonnable avec une petite taille d’élément. Pour ce qui est des connexions de la paroi d’acier, un coefficient de friction statique de 0,8 est appliqué à sa surface supérieure et inférieure. La force de serrage appliquée aux boulons génère une force de friction suffisante pour limiter le glissement de la paroi d’acier. La validation de l’analyse par éléments finis (AEF) se fait par comparaison avec les résultats expérimentaux jusqu’à la rupture ductile de la paroi d’acier. Les résultats du déplacement vertical moyen de la paroi d’acier en fonction de la pression sont sous-estimés de 6 % par l’AEF. De plus, l’AEF reproduit avec une bonne précision l’effet membrane de la déformation principale de la paroi d’acier. Elle sous-estime la déformation principale en moyenne de 1 % avec un écart de plus ou moins 14 % par rapport aux résultats expérimentaux. Cependant, les résultats expérimentaux au point de rupture sont très sensibles au positionnement de la rosette ce qui augmente l’écart entre les résultats expérimentaux et numériques. La bonne corrélation entre les résultats expérimentaux et numériques au point de rupture de la paroi d’acier est tout de même confirmée. En effet, le MEF surestime la déformation principale en moyenne de 7 % avec un écart de plus 23 % et de moins 15 % par rapport aux résultats expérimentaux. Ensuite, le critère de rupture ductile basé sur la déformation ultime est proposé et appliqué aux résultats de l’AEF afin de valider les résultats à la rupture de la paroi d’acier. Les résultats de la simulation numérique surestiment en moyenne de 11 % la pression du banc d’essai et sous-estiment en moyenne de 1% le déplacement vertical de la paroi d’acier à la rupture. En conclusion, la méthode d’AEF structurale et le critère de rupture ductile basé sur la déformation ultime sont des approches efficaces pour évaluer avec grande précision le déplacement et la déformation de la paroi d’acier sous pression jusqu’à la rupture.</abstract><pub>École de technologie supérieure</pub><oa>free_for_read</oa></addata></record>
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