Une politique de la ville « à la française » à Montréal?
La circulation des idées et l’augmentation des espaces de rencontre entre les acteurs de l’action publique, induites par la mondialisation et la supranationalisation, incitent à entrevoir le spectre d’une homogénéisation des recettes de politique publique malgré la très grande diversité et la comple...
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Veröffentlicht in: | International journal of Canadian studies 2011 (43), p.23-43 |
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1. Verfasser: | |
Format: | Artikel |
Sprache: | fre |
Online-Zugang: | Volltext |
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creator | Sacco, Muriel |
description | La circulation des idées et l’augmentation des espaces de rencontre entre les acteurs de l’action publique, induites par la mondialisation et la supranationalisation, incitent à entrevoir le spectre d’une homogénéisation des recettes de politique publique malgré la très grande diversité et la complexification des systèmes institutionnels. Selon de nombreux témoignages, les politiques publiques de lutte contre la ségrégation sociospatiale introduites à Montréal en 1999 auraient beaucoup emprunté à la politique de la ville française. Cet article vise à déterminer l’ampleur de cet emprunt et des convergences de ces politiques publiques avec la politique de la ville française à travers l’analyse du processus qui a guidé ce transfert. Loin de souscrire à une uniformisation de l’action publique, l’adoption et la gestion de ces politiques publiques, ainsi que l’élaboration du programme local d’action de Parc-Extension, montrent l’articulation entre le contexte politique et institutionnel montréalais et cet élément exogène dans la fabrique de ces politiques publiques. |
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Selon de nombreux témoignages, les politiques publiques de lutte contre la ségrégation sociospatiale introduites à Montréal en 1999 auraient beaucoup emprunté à la politique de la ville française. Cet article vise à déterminer l’ampleur de cet emprunt et des convergences de ces politiques publiques avec la politique de la ville française à travers l’analyse du processus qui a guidé ce transfert. 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Selon de nombreux témoignages, les politiques publiques de lutte contre la ségrégation sociospatiale introduites à Montréal en 1999 auraient beaucoup emprunté à la politique de la ville française. Cet article vise à déterminer l’ampleur de cet emprunt et des convergences de ces politiques publiques avec la politique de la ville française à travers l’analyse du processus qui a guidé ce transfert. 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