Deuils au pluriel: Sur deux textes d’Abla Farhoud
Résumé Les auteures de cet article traitent de l’exil qui entraîne un deuil des origines dans deux textes migrants d’Abla Farhoud, soit Jeux de patience (1997), pièce dramatique, et Le bonheur a la queue glissante (1998), oeuvre romanesque. Dans ces oeuvres, où il y a une juxtaposition de deuils, en...
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Veröffentlicht in: | Voix et images 2006, Vol.31 (3), p.105-125 |
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Hauptverfasser: | , |
Format: | Artikel |
Sprache: | fre |
Online-Zugang: | Volltext |
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creator | Carrière, Marie Khordoc, Catherine |
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Les auteures de cet article traitent de l’exil qui entraîne un deuil des origines dans deux textes migrants d’Abla Farhoud, soit Jeux de patience (1997), pièce dramatique, et Le bonheur a la queue glissante (1998), oeuvre romanesque. Dans ces oeuvres, où il y a une juxtaposition de deuils, entre en jeu une déchirure antérieure, ce qui amène à conjuguer le deuil au pluriel. Dans la pièce et le roman, il existe une tension entre mémoire et refoulement, entre deuil et mélancolie, qui habite les personnages féminins. Les auteures cherchent également à souligner l’importance de la prise de parole qui motive le deuil, un travail toujours inachevé, intrinsèquement lié à la perte, une composante incontournable de toute subjectivité et de toute écriture. |
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Les auteures de cet article traitent de l’exil qui entraîne un deuil des origines dans deux textes migrants d’Abla Farhoud, soit Jeux de patience (1997), pièce dramatique, et Le bonheur a la queue glissante (1998), oeuvre romanesque. Dans ces oeuvres, où il y a une juxtaposition de deuils, entre en jeu une déchirure antérieure, ce qui amène à conjuguer le deuil au pluriel. Dans la pièce et le roman, il existe une tension entre mémoire et refoulement, entre deuil et mélancolie, qui habite les personnages féminins. Les auteures cherchent également à souligner l’importance de la prise de parole qui motive le deuil, un travail toujours inachevé, intrinsèquement lié à la perte, une composante incontournable de toute subjectivité et de toute écriture.</description><identifier>ISSN: 0318-9201</identifier><identifier>EISSN: 1705-933X</identifier><identifier>DOI: 10.7202/013242ar</identifier><language>fre</language><publisher>Université du Québec à Montréal</publisher><ispartof>Voix et images, 2006, Vol.31 (3), p.105-125</ispartof><rights>Tous droits réservés © Université du Québec à Montréal, 2006</rights><woscitedreferencessubscribed>false</woscitedreferencessubscribed></display><links><openurl>$$Topenurl_article</openurl><openurlfulltext>$$Topenurlfull_article</openurlfulltext><thumbnail>$$Tsyndetics_thumb_exl</thumbnail><linktopdf>$$Uhttps://www.erudit.org/en/journals/vi/2006-vi1130/013242ar.pdf$$EPDF$$P50$$Gerudit$$H</linktopdf><linktohtml>$$Uhttp://id.erudit.org/iderudit/013242ar$$EHTML$$P50$$Gerudit$$H</linktohtml><link.rule.ids>314,694,780,784,4024,27923,27924,27925,79561,79562</link.rule.ids></links><search><creatorcontrib>Carrière, Marie</creatorcontrib><creatorcontrib>Khordoc, Catherine</creatorcontrib><title>Deuils au pluriel: Sur deux textes d’Abla Farhoud</title><title>Voix et images</title><description>Résumé
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