Émile Ollivier : enracinerrant de Notre-Dame-de-Grâce
Résumé Cette étude met en question le statut de l’écrivain « marginal », choisissant le nom d’un quartier de Montréal pour décrire la « marge » d’où il écrit, se situant comme un trait d’union entre Haïti et le Québec, le rêve et la réalité. L’oeuvre d’Émile Ollivier est considérée dans son ensemble...
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Veröffentlicht in: | Études littéraires 2002, Vol.34 (3), p.15-27 |
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Format: | Artikel |
Sprache: | fre |
Online-Zugang: | Volltext |
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Cette étude met en question le statut de l’écrivain « marginal », choisissant le nom d’un quartier de Montréal pour décrire la « marge » d’où il écrit, se situant comme un trait d’union entre Haïti et le Québec, le rêve et la réalité. L’oeuvre d’Émile Ollivier est considérée dans son ensemble, imbriquant les frontières entre l’essai et la fiction, entre le concret et l’imaginaire. Le terme « enracinerrant » (de Jean-Claude Charles) est employé pour décrire cette oeuvre où l’on trouve « l’enracinement dans l’errance ». « Enracinerrant » comme beaucoup de ses personnages, Ollivier est un auteur plus « migrant » que « marginal », un explorateur de la parole aux appartenances différentes et multiples. |
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