Mémoire et travail scientifique de nature réflexive dans la formation initiale des enseignants – regards croisés sur ces objets
L’initiation à la recherche ainsi que la rédaction d’un écrit comptent parmi les exigences attendues dans le cadre de la formation initiale des enseignants en France. Selon leur parcours universitaire et professionnel, il est proposé à ces débutants de réaliser soit un mémoire, pour les étudiants du...
Gespeichert in:
Veröffentlicht in: | Questions vives 2018-12 (N° 30) |
---|---|
1. Verfasser: | |
Format: | Artikel |
Sprache: | eng ; fre |
Online-Zugang: | Volltext |
Tags: |
Tag hinzufügen
Keine Tags, Fügen Sie den ersten Tag hinzu!
|
Zusammenfassung: | L’initiation à la recherche ainsi que la rédaction d’un écrit comptent parmi les exigences attendues dans le cadre de la formation initiale des enseignants en France. Selon leur parcours universitaire et professionnel, il est proposé à ces débutants de réaliser soit un mémoire, pour les étudiants du master Métier de l’enseignement de l’éducation et de la formation (MEEF), soit un travail scientifique réflexif (TSR) pour ceux qui sont inscrits en diplôme universitaire (DU). La réalisation de ces travaux constitue un point névralgique dans la formation au métier d’enseignant, sujet de controverses. Dans le cadre d’une enquête réalisée auprès des étudiants fonctionnaires stagiaires (EFS) et des formateurs de l’ESPE (École supérieure du professorat et de l’éducation) Clermont-Auvergne, trois axes ont été explorés : la définition de ces écrits par les étudiants comme les formateurs, le rôle du directeur de mémoire dans leur production, l’impact ressenti de ces écrits sur la professionnalisation des enseignants débutants. Ils tentent de comprendre les tensions et attentes à l’égard de ces objets. |
---|---|
ISSN: | 1635-4079 1775-433X |
DOI: | 10.4000/questionsvives.3449 |