Le point de vue des physiocrates suédois sur les établissements d'enseignement de Catherine II (1773-1775)

L'intérêt tout particulier que les physiocrates témoignaient à la politique de Catherine II (notamment lors de la visite que fit Diderot à Saint-Pétersbourg) a déjà été relevé. On sait que Catherine, de son côté, ne laissait rien paraître de sa suspicion à l'égard des physiocrates, lesquel...

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Veröffentlicht in:Cahiers du monde russe 2002-04, Vol.43 (2/3), p.333-341
Hauptverfasser: Karp, Sergej Ja, Le Torrivellec, Xavier
Format: Artikel
Sprache:fre
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creator Karp, Sergej Ja
Le Torrivellec, Xavier
description L'intérêt tout particulier que les physiocrates témoignaient à la politique de Catherine II (notamment lors de la visite que fit Diderot à Saint-Pétersbourg) a déjà été relevé. On sait que Catherine, de son côté, ne laissait rien paraître de sa suspicion à l'égard des physiocrates, lesquels prétendaient s'immiscer dans la conduite des affaires de l'État. Cet article est consacré à l'intérêt qu'avaient suscité auprès des physiocrates suédois les établissements éducatifs fondés par l'impératrice. L'auteur s'est appuyé sur les matériaux constitués par la correspondance privée entre le ministre de Suède à Saint-Pétersbourg, le baron Johan Fredrik von Nolcken (1737-1809), et le comte Karl Fredrik Scheffer (1715-1786). /// The physiocrats' special interest for Catherine II's policies (particularly at the time of Diderot's visit to St. Petersburg) is a known fact. We know that for her part, Catherine concealed her suspicion of the physiocrats, who intended to interfere in state management. This article deals with the Swedish physiocrats' interest for the educational institutions founded by Catherine. The author draws from the private correspondence between the Swedish envoy in St. Petersburg, Baron Johan Fredrik von Nolcken (1737-1809), and Count Carl Fredrik Scheffer (1715-1786).
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