La marchandisation d’« Edo » pendant les ères Meiji et Taishō. La création des « motifs Genroku » et d’un « goût pour Edo » par le grand magasin Mitsukoshi
Le « style Edo » en faveur dans les années 20 de Meiji (1887-1896) a été le signe d’une réticence face aux mesures d’occidentalisation du pays comme de l’émergence d’une forme de patriotisme. Ce phénomène a été analysé dans les études sur la formation de l’État-nation japonais, qui visait à la créat...
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Veröffentlicht in: | Ebisu : etudes japonaises 2019-01 (56), p.19-69 |
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Format: | Artikel |
Sprache: | fre |
Online-Zugang: | Volltext |
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Zusammenfassung: | Le « style Edo » en faveur dans les années 20 de Meiji (1887-1896) a été le signe d’une réticence face aux mesures d’occidentalisation du pays comme de l’émergence d’une forme de patriotisme. Ce phénomène a été analysé dans les études sur la formation de l’État-nation japonais, qui visait à la création d’une culture et d’une tradition particulières au Japon. Cet article examine quant à lui le mécanisme et l’impact de la marchandisation de cet « Edo » promu par Mitsukoshi de la fin de l’ère Meiji à l’ère Taishō (au début du xxe siècle), en se concentrant sur l’essor des motifs Genroku après la guerre russo-japonaise de 1904-1905 et sur le « goût pour Edo » largement adopté dans la vie quotidienne et la culture de l’ère Taishō. |
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ISSN: | 1340-3656 2189-1893 |
DOI: | 10.4000/ebisu.3543 |