Les prépositions : une classe aux contours flous

Résumé Si l’inventaire des prépositions simples ne semble pas différer beaucoup d’une grammaire à l’autre, les diverses définitions de cette partie du discours laissent beaucoup à désirer quant à leur adéquation avec le fonctionnement des éléments de cet inventaire. En particulier, les propriétés le...

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Veröffentlicht in:Travaux de linguistique (Gand, Belgium) Belgium), 2001-06, Vol.no42-43 (1), p.23-31
1. Verfasser: Gaatone, David
Format: Artikel
Sprache:fre
Online-Zugang:Volltext
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Beschreibung
Zusammenfassung:Résumé Si l’inventaire des prépositions simples ne semble pas différer beaucoup d’une grammaire à l’autre, les diverses définitions de cette partie du discours laissent beaucoup à désirer quant à leur adéquation avec le fonctionnement des éléments de cet inventaire. En particulier, les propriétés le plus souvent suggérées dans ces définitions, telles que les rôles de relateurs et subordonnants, ne paraissent pas vraiment convenir à certains emplois des prépositions les plus courantes, entre autres de et à . Le problème essentiel est sans doute celui des prépositions souvent dites « vides » ou, du moins, dont certains emplois peuvent être dits “vides”. Mais ce qui, en définitive, paraît réellement important, c’est de mieux cerner les distributions des mots traditionnellement inclus dans la classe des prépositions, en les classant sur la base des facteurs sémantiques, syntaxiques ou lexicaux, qui conditionnent leur emploi.
ISSN:0082-6049
1782-1576
DOI:10.3917/tl.042.023