Unele consideraţii privind latina din Dacia

Simultanément avec la transformation de Dacie en province romane, celle-ci a été exposée à un vaste processus de romanisation, ainsi en peu de temps, la population de la province a appris la langue latine, qui est devenue la langue de communication, étant donné l’amalgame ethnique cohabitant. Le lat...

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Veröffentlicht in:Tyragetia 2009, Vol.III (1), p.293-299
1. Verfasser: Voloşciuc-Bîtcă, Ana
Format: Artikel
Sprache:rum
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creator Voloşciuc-Bîtcă, Ana
description Simultanément avec la transformation de Dacie en province romane, celle-ci a été exposée à un vaste processus de romanisation, ainsi en peu de temps, la population de la province a appris la langue latine, qui est devenue la langue de communication, étant donné l’amalgame ethnique cohabitant. Le latin littéraire a été connu par les hautes couches sociales, plus répandu étant le latin vulgaire, imprégné avec des fautes et des erreurs d’expression, à cause de plusieurs facteurs. La militarisation intense a résulté l’apparition dans la langue courante des notions militaires qui feront référence ultérieurement à des choses et des faits civiles. On peut distinguer le spécifique du latin de Dacie des inscriptions de n’importe quel genre, leur recherche étant indispensable pour l’étude des faits de langue. En lignes générales le latin de Dacie n’a été une langue isolée, mais elle s’est intégrée dans les limites de la langue parlée dans tout l’empire, de cette manière la communication de toutes les populations des provinces romanes étant possibles.
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Le latin littéraire a été connu par les hautes couches sociales, plus répandu étant le latin vulgaire, imprégné avec des fautes et des erreurs d’expression, à cause de plusieurs facteurs. La militarisation intense a résulté l’apparition dans la langue courante des notions militaires qui feront référence ultérieurement à des choses et des faits civiles. On peut distinguer le spécifique du latin de Dacie des inscriptions de n’importe quel genre, leur recherche étant indispensable pour l’étude des faits de langue. 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